Le sapeur Brian Collier – Il avait la fibre humanitaire
Au terme de ses études à l’école secondaire de district de Bradford, Brian a travaillé pendant quelque temps avant de s’enrôler dans l’Armée en 2007. En novembre 2008, il a été affecté au 1RGC après avoir terminé sa formation à l’École du génie militaire des Forces canadiennes. Il prenait part à son premier déploiement en Afghanistan lorsqu’un engin explosif improvisé (EEI) l’a tué.
Le soldat Howard Addington Foster – Une Fin Incertaine
Howard Foster s’est enrôlé dans le Corps expéditionnaire canadien (CEC) en septembre 1915, a été vite muté du 64e Bataillon au 104e, puis déployé à Liverpool, en Angleterre, le 5 juillet 1916.
Oliver Percy Drinkwalker – Un Homme qui a Trouvé l’amour de sa vie au Retour de la Guerre
Oliver a poursuivi la lutte avec son régiment en Allemagne et y est resté jusqu’à la fin des conflits. Il est retourné au Canada à bord du Monarch of Bermuda le 15 décembre 1945. Il a rencontré Madeline, la femme de ses rêves, cinq mois après, pour l’épouser six mois plus tard. Oliver est décédé le 22 novembre 2011, quelque temps après avoir célébré 64 années de vie commune avec son grand amour.
Chef Johnson Paudash – Le Tireur d’élite Gentilhomme
Tireur d’élite et éclaireur hors pair, il s’avançait dangereusement près des tranchées ennemies avec une aisance naturelle, sans se faire repérer.
Ken et Mickey Macdonald – Réunis par leur désir de servir
À peine arrivé à Woodstock, il rencontra Hazel McMaster, qu’on surnommait déjà Mickey. Ken était entraîneur du Régiment blindé et, vers la fin de la guerre, se préparait à devenir parachutiste.
Le soldat Cecil George Birley – Tireur d’élite sur la ligne de front lors de la bataille de la Somme
Le soldat Birley a tenu un petit journal dont un extrait explique en détail son départ du Canada pour l’Angleterre avec le 84e Bataillon. Ce document a été transmis à Bill Birley, son petit-neveu qui vit à Paris, en Ontario, qui en a plus tard fait don à la Paris Museum and Historical Society.
Le caporal James Hayward Arnal – Le soldat aux cartes de Noël
« J’espère qu’on se souviendra toujours de leur héroïsme. » Le caporal James Hayward Arnal
Le Soldat William James Carson
Blessé au cours d’une violente attaque près de la crête de Vimy, le soldat Carson fut admis à l’hôpital fixe no 11 à Rouen, en France, où l’on déclara son état critique le 12 août 1918. Il y décédait six jours plus tard.
William (Billy) Patrick Regan
Billy Regan s’est enrôlé à seize ans dans le Royal Canadian Regiment et est mort au combat en Corée trois ans plus tard. Il n’était pas encore assez vieux pour avoir le droit de voter ou de boire de l’alcool, comme beaucoup de ses frères d’armes. Mais, il disait souvent avoir la bougeotte et l’armée donnait l’occasion de voir le monde.
Le Lieutenant John James (Jim) Campbell, M.C., Artillerie de Campagne
Jim servit en tant qu’officier d’artillerie lors des batailles de la tranchée Regina, de la Crête de Vimy, d’Arleux, de Fresnoy, de la Côte 70 et de Passchendaele, de l’attaque de La Coulotte et de la capture d’Avion. Il n’aura eu que neuf jours de congé.
Le caporal Michael Lesmeister – Tombé à Juno Beach en 1944
Vers la fin de 1942, le Canada dut augmenter son effectif militaire pour remplir son rôle grandissant dans la Deuxième Guerre mondiale. Michael fut mobilisé dans l’Armée canadienne en novembre de cette année. Pendant des mois, il suivit la formation de base des soldats de l’infanterie, puis son unité fut déployée dans le cadre d’une opération consistant à reprendre les îles Aléoutiennes, dans le sud-ouest de l’Alaska.
Francis « Peggy » Pegahmagabow – L’incomparable tireur d’élite de la Première Guerre mondiale
Pendant que le sang coule et que le chaos règne sur les champs de bataille de la Première Guerre mondiale, des centaines de milliers de jeunes Canadiens s’enrôlent pour défendre leur pays à l’étranger. L’un d’entre eux se distingue particulièrement. Son courage et son intrépidité sont légendaires. Ses frères d’armes le surnomment Peggy.
Le garde Herman Edward Burke (1918-1944) – Un homme ordinaire et son sacrifice extraordinaire
En septembre de cette année-là, Herman quitta la quiétude de son pays pour faire son devoir en terre étrangère. Pendant le long périple et les terribles mois et jours qui le suivirent, il songea certainement à la petite ville du Québec où ceux qu’il aimait attendaient son retour.