Les Parcs Sont Nécessaires : Quand la Maladie Frappe, nous avons tous Besoin d’un peu d’air

Le Globe and Mail a publié le mardi 17 mars dernier un très bel article sur l’importance des espaces verts en milieu urbain, surtout lorsque la maladie frappe.

Des gens marchent sur le sentier Martin Goodman, dans le parc Sir Casimir Gzowski à Toronto le 17 mars 2020. FRED LUM/THE GLOBE AND MAIL

Des gens marchent sur le sentier Martin Goodman, dans le parc Sir Casimir Gzowski à Toronto le 17 mars 2020.

FRED LUM/THE GLOBE AND MAIL

L’auteur Alex Bozikovic traite de l’effet positif exercé par High Park, à Toronto, sur la santé mentale de sa famille pendant la pandémie de COVID-19. Il évoque aussi les bienfaits du soleil et de l’air frais, de même que l’épidémie de tuberculose qui a inspiré la création d’espaces verts dans les villes.

Il cite Frederick Law Olmsted, un architecte paysagiste qui a conçu de nombreux parcs urbains emblématiques dans les années 1800 : « Si la ville ne nous offre aucun répit, nous ne devrions pas être étonnés d’en souffrir. » Il est indispensable que nous nous coupions du paysage urbain pour « maintenir un état d’esprit sain et conciliant. »

En ces jours où nous devons nous isoler et garder deux mètres entre nous, il est primordial que nous adoptions une attitude positive. Plus la pandémie durera, plus l’ennui et la dépression rôderont. Allez dehors pour bénéficier d’une bonne dose de vitamine D et d’air frais.

Prenez bien soin de vous. Nous surmonterons cette crise ensemble.

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